Notre environnement ornithologique semblait ne se composer que de corbeaux et de pigeons. Puis il sont arrivés. Des rapaces de grande envergure au vol majestueux. Je les prenais pour des aigles. Ils sont néanmoins de la même famille. Par dizaines, ils ont tournoyé au sommets de nos tours. En un seul cliché (malheureusement inexploitable), j’ai pu en photographier 51. Ce seul groupe comportait vraisemblablement plus de 100 individus.
En fait, ce sont des milans noirs qui nous privent de nos colocataires habituels.