Un peu long, mais mérite d’être lu dans son intégralité. Que les cassandres de l’éducation française pleurent moins et que chacun se souvienne des sages paroles de Michelet: « Quelle est la première partie de là politique ? L’éducation. La seconde ? L’éducation. Et la troisième ? L’éducation.
L’Inde consacre bien moins de fonds pour l’éducation que les autres pays de l’OCDE – environ 3,7-3,8% du PIB national
Le nombre d’enfants en Inde ayant besoin d’être scolarisés dans le primaire ou le secondaire est à lui-seul plus important que l’ensemble de la population de l’Union européenne. Mais parmi les nombreux défis auxquels le pays doit faire face, l’éducation est l’un des plus difficiles. Y compris dans l’enseignement supérieur.
En juillet 2014, alors que débute l’année scolaire pour les étudiants indiens, quelques instituts réputés de New Delhi ont défini leur note de passage à 100%. C’est-à-dire qu’ils n’acceptent pas les élèves n’ayant pas eu les notes maximales au baccalauréat. Ils ont ainsi laissé de côté des centaines d’élèves ayant eu des notes avoisinant 100% – un excellent résultat partout ailleurs dans le monde – les obligeant à chercher désespérément d’autres options pour être admis dans une école décente…
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