En mars 2018, je visitai par curiosité suscitée par l’ouï-dire, une boutique qui, elle-même, se surnomme “l’Oasis de la Connaissance” : Ananda. Dès notre arrivée en Martinique, je m’étais passionné pour certains des écrits de Patrick Chamoiseau. Au centre de la boutique trônait une pyramide de livre: “La matière de l’absence“.
A cette époque, le deuil ne faisait pas encore l’essentiel de mon quotidien. Le deuil nous frappe tous un jour ou l’autre. Si l’attaque peut torturer, anéantir… bientôt, le temps tire son voile analgésique. Peu à peu, nous faisant avec. Nous faisons sans. Heureusement.
Une lecture peut nous aider à passer le creux de la vague en suscitant des réflexions…nous préparer à la séparation.
Ici, il s’agit d’un dialogue de l’auteur et de sa sœur lors la disparition de “Man Ninotte”. Leur mère. La mère. “Mère universelle”!
L’auteur nous invite à l’exploration des coutumes et des rites qui accompagne le deuil dans les Antilles. Il nous entraîne sur la trace des relations complexes entre le monde des exploiteurs et et des exploités. La dichotomie entre le “Noir” et le “Blanc”. Il élargit son exploration à l’origine de l’Humanité.
Les seuls évènements humainement universels sont la naissance et la mort.
C’est en considérant ces deux extrêmes que l’Être Humain invente ses croyances et ses cultures.
Elle est aussi spontanée que provoquante. Tant pis pour les esprits chagrins!
A force de constater que, chaque année, les « bons vœux » peinent à faire de l’effet, nous nous sommes demandés, « à quoi bon persévérer dans ce vain rituel ? ». Au fil du temps, la formule s’est vidée de son sens et n’est plus qu’une simple formule «d’impolitesse » rabâchée pour faire « comme tout le monde» et ne pas se faire « mal voir ». Et puis d’abord, « on l’a toujours fait ! ».
Un chef-d’œuvre d’hypocrisie qui connait son heure de gloire avec les réseaux sociaux. En un clic, nous bénissons 500, 1000 et bien plus encore d’amis plus ou moins de pacotilles “urbi et orbi“. Nous en arrivons pour nos parents et amis – les vrais et les espérés vrais – à servir la même « soupe populaire », inodore, incolore et sans saveur. Sans effort de notre part!
Et pourtant, autour de nous, « des êtres » semblent s’en sortir mieux que d’autres et se disent « heureux ». Notre patenôtre votive serait-elle, à contrario, miraculeuse pour certains ? Nenni !
Ces «gens heureux» ont un secret au vu et au su de tous.
Quel est donc ce fossé qui sépare les uns des autres ?
La santé ? Certes son impact est essentiel dans notre quotidien. Mais alors, pourquoi donc, des malades – et nous en connaissons de très affectés – sont plus heureux que des êtres en bonne santé physique et intellectuelle ? Le bonheur ne serait donc pas le corollaire de la santé ?
Après avoir observé les personnes autour de nous, force nous est de constater que le bonheur a des « sources » qui sont « la prédisposition mentale » et « la volonté ». Alors, nous direz-vous, à quoi bon, si nous ne sommes pas nés avec une « cuillère en argent » dans notre psyché ? Soit.
Mais reste « la volonté ».
« Aide toi et le ciel t’aidera ! » proclame la vox populi tournée vers des cieux incertains.
Il ne nous reste qu’une orientation : plonger en nous pour y découvrir « l’univers et les dieux ». L’appréhension, les peurs vaincues, il s’en faudra de très peu que le bonheur ne coule. Nous apprendrons à affronter notre univers intime et les dieux, les démons qui nous habitent et nous en ferons des alliées, des forces, des amis !
Nous seuls pouvons accomplir cette intrusion libératrice, mais c’est avec les autres que nous étaierons les galeries de notre exploration en partageons nos efforts.
En rayonnant !
Notre bonheur 2022 et au delà, est entre nos mains.
PROCHAINEMENT: Photographies de Pascal Brunet réalisées lors d’un road trip dans l’Arunachal Pradesh, le Nagaland, l’Assam (Inde du Nord) jusqu’en Birmanie. Des scènes de vie au quotidien d’une population extraordinairement accueillante, tellement loin de l’effervescence du monde moderne ! Du monastère de Tawang, situé à la frontière du Bhoutan, jusqu’à l’île de Majuli sur le fleuve Brahmapoutre et le parc national de Kaziranga, je vous propose une plongée dans l’intime des habitants de ces régions. Des gestes simples, des regards, des échanges fugaces mais authentiques…
Embouchés sont les appeaux! L’heure des leurres a sonné!
Pipelets et pipelettes ont aiguisé la fourche vipérine, la fourche de leurs langages!
Pic! Nic! Douille! C’est toi qui sera l’andouille!
Mais…!
Mais peut-on en vouloir au chaland de baver? Les bateleurs proposent à la vente tout ce que nous “voulons” vouloir, tout ce que nous avons appris à vouloir. Inculqués sommes nous de besoins impératifs que nous proclamons “Notre Liberté!“.
La liberté “chérie” tant clamée, tant réclamée n’est qu’un amuse-bouche, un amuse-oreilles à géométrie variable. Un drapeau sans hampe.
Faut-il être fou, tellement fou, pour se présenter devant les électeurs aussi peu restent-ils? Réaliser, avoir conscience qu’il faudra renier, mentir avec conviction… Réaliser, avoir conscience qu’il faudra se renier, se mentir, se trahir soi-même…
Urne funèbre! Urne si peu pleine, tu emportes la morale et la sagesse. La victoire est à ce prix. Victoire à la Pyrrhus!
Le candidat est inconscient! Dès la victoire ses ennemis resteront ses ennemis. Les opportunes amitiés complices érigeront des autels pour brûler leur idole d’un instant. Holocauste de la désillusion, de la consolation! La victoire porte en elle des relents de souffre et de marais putrides.
Alors pourquoi briguer?
Le pouvoir illusoire qui n’appartient en rien à qui crève l’écran?
La gloire éphémère?
Le plaisir masochiste?
L’instinct du sacrifice, le besoin d’être martyr?
LA FOLIE! peut-être. La Folie sans doute!
La démocratie donne aux fous le pouvoir d’élire l’un des leurs. Le sage au seuil du bureau de vote, hésite… La sagesse n’est pas l’apanage des harangueurs. La force des gigolos dressés sur leurs ergots, sur leur “ego” tarabiscotés, est la crédulité et l’ignorance des oreilles conditionnées.
La perte de confiance et l’égocentrisme de chacun génèrent l’abstention. L’intérêt personnel efface l’intérêt collectif. L’abstention conforte l’extrémisme. L’extrémisme engraisse la tyrannie.
L’Histoire se répète inlassablement, inexorablement.
Empire d’Egypte, empire de Chine, empires d’Amériques, empire de Rome…les civilisations s’écroulent!
Notre “Occident” n’échappera pas à la règle.
Nul n’échappe à son destin qui coupe la branche où il a construit son nid… L’imbécile réduit en copeau la culture qu’il n’a pas reçu et qu’il n’avait pas envi de recevoir: il fut tant engraissé à la malbouffe intellectuelle et spirituelle.
France! Ivre galère! Tes rameurs rêvent de paradis artificiels! Tes matelots rêvent d’enlacements stellaires! Mais ne forniquent sous le ciel Qu’aux ventres de sordides prostituées inhumaines.
L’équipage courbé aux caprices du vent et ceux du capitaine, Ploie et se redresse. Gare à qui glisse et s’affale.
Hurle le ban!comme autant de tempêtes, autant de haine! Mais à quoi sert, au front de la rafale De hurler, d’invectiver les cieux, brandir un poing vengeur! L’union face au péril devrait être la loi. L’alliance, l’alliage de tous serait de bon aloi. Nenni! Voici qu’émerge une floppée de barreurs.
Fusent les solutions! Contradictoires! “Virons de bord”, dit l’un! “Droit devant”! dit l’autre Apparaissent les faux apôtres! “Affalons!”, “Hissons!”, “Aux chaloupes!”, Les cris, les hystéries,font croire à la victoire. Mais “le vent fripon” déserte la poupe.
La dérive!
Les clans s’affrontent. La vague emporte le raz d’eau.
La dérive!
Qu’importe! Se pourfendent les prétendus sauveurs!
Et se brisent un peu plus le radeau!
Personne ne sait qui suivre à cette heure
A défaut de projet, tous se battent “contre”…
Sans conviction. Leur conviction s’est jetée par dessus-bord
Depuis bien longtemps.
Par dessus les ego recroquevillés, souffle la tempête…
Etienne Lallement – 12 septembre 2021 – Saint-Joseph – La Martinique
Que la bêtise humaine s’en mêle révolte! Mais qui se révolte?
“Il n’est de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir!”
Qui reconnaîtra son erreur parmi tant d’autres? Celui qui crie a souvent tord et les décibels lui servent d’arguments et rassurent les moutons dressés à l’obéissance aux aboiements des chiens. Tout autant coupable, celui qui se tait. Tout autant coupables ceux qui accordent leur haine à la haine des moutons aveuglés, des moutons apeurés broutant des herbes putrides des prés intoxiquant!
Par intérêts personnels, l’humain est prédateur. L’humain est pusillanime. L’humain reste indifférent.
L’intérêt collectif a-t-il encore un sens?
Etre “Humain” a-t-il encore un sens?
Etienne Lallement – 19 août 2021
La nouvelle du décès à peine parvenue, nous entendions et avons réécouté cette chanson de Jean Ferrat. Décidemment, le hasard n’existe pas. Titre de l’album: “Dans la jungle ou le zoo”.
Cette remarque nous semble terriblement d’actualité! Et pourtant! Friedrich Nietzsche l’a écrite entre 1882 et 1887.
De toute mon existence, j’ai entendu des lamentations sur “la vie qu’on vit!!!“. Il semble être dans la nature de l’être humain de déplorer, de se morfondre de l’atmosphère de l’époque qui l’a vu naître.
La “belle époque” est toujours du temps passé et seuls, les lendemains chanteront. Néanmoins, sur ces derniers, le doute plane…et le doute angoisse.
Moi qui ai “un peu” vécu, ai entendu de tout temps des chœurs de cassandres gémir des “de-profundis” et notre XXIème siècle n’échappe pas à cette règle: à les entendre, nous subissons l’apocalypse et “le bonheur est toujours pour demain“.
Si…Si…Si.. Chaque génération semble transmettre à ses enfants ce misérabilisme. Ah! Si j’étais riche! Ah! Si j’étais libre! Ah! Si j’étais…Ah!
Chacun pose ici ses conditions, mais soixante dix millions d’individus ne partagent pas les mêmes “Si”. Sept milliards…
Un partie de l’humanité s’ennuie. L’autre trompe son ennui. Du moins essaye…
Il faudrait prendre conscience que nous sommes, chacun d’entre nous, “capitaine” de notre propre bateau qu’il soit “frêle esquif” ou “géant des mers”. Les océans sont les mêmes pour tous et de tout temps. De toute météo. Nous ne pouvons rien contre les caprices de la nature et devons adapter notre navigation: hisser ou affaler les voiles qu’il faut au moment opportun.
Mais voilà, le matelot rêve de devenir “capitaine” du géant qui l’effraie. Le “commandant” rêve de la liberté du tireur de filets. Chacun désire la richesse de l’autre sans renoncer à son “avoir”. Chacun rêve de tout. Chacun ne voit dans l’autre que la brillance des apparences. chacun fait l’impasse des chances de sa condition. De ses propres richesses. Partir à l’abordage est le maître-mot de l’envie. Tous et chacun rêvent. Le rêve mobilise l’Humanité tout entière. L’ÊTRE n’existe-t-il que pour rêver?
Tempêter contre la tempête est la révolte de tous temps. Mais, c’est l’individu qui est en cause et non la mer, ni le vent.
Tels des juges, nous jetons l’opprobre sur nos semblables. Tel de coupables Caïn, nous vivons sous le regard d’un œil que nous avons créé. Râler est le propre de l’agonisant en souffrance.
Malgré tout, cette déploration de contemporanéité a un effet bénéfique. Elle permet à certains de se surpasser et continuer, bon an, mal an, à faire progresser l’humanité. L’éducation devrait faire de nous des conquérants. Des révoltés “actifs”!
La roue reste à réinventer.
La conquête de l’espace balbutie et enflamme les imaginations. La conquête de et pour l’Être reste à faire.
Le poids de l’ignorance! Le choc des incompétences!
Ce n’est pas une accusation. Je le constate depuis bientôt un an. Depuis le début de la lutte contre le coronavirus. Je ne jette pas de pierres. Je n’ai rien à proposer: pas d’idées ni de solution miracle. L’ignorance et l’incompétence ne sont pas des fautes. Elles sont le lot de chacun d’entre nous. Bien sûr, les carences des uns ne sont pas les carences des autres. Heureusement!
Les connaissances et savoirs ne sont pas les apanages d’une élite condescendante survolant une humanité débile où régneraient ignorance et servitude. Physiques et intellectuelles.
Et pourtant certains “êtres” croient en ce clivage de l’humanité et se galonnent d’étoiles et se fabriquent des bâtons de commandement. Malheureusement, ils font souvent “école“. L’angoisse qui est le lot de tout humain fait de l’être une proie pour ces prédateurs. Le pouvoir rassure car ces chasseurs sont tout aussi angoissés que n’import qui.
Ceux qui crient le plus fort sont, le plus souvent, les plus anxieux, ceux qui refoulent leurs angoisses avec le plus de véhémence. De violence.
Leur logorrhée leur tient lieu d’extincteur contre les feux de la peur. Partager sa détresse allège le fardeau dont ils veulent tout ignorer. Gare à qui veut porter atteinte à leur pouvoir, qui fait vaciller les remparts de leurs pseudo-certitudes. Fragilise leur intégrité. L’intégrisme n’est pas que ” fait religieux“.
Ne nous faisons pas d’illusions, nous sommes à la fois – tous sans exception – victimes et prédateurs! Le fait de traiter quelqu’un de “con” fait de nous un prédateur. Un prédateur minable, mais un réel prédateur.
Alors?
Au banquet de la vie, ne sommes-nous pas des analectes se gavant de miettes de pensées tombées de la table de ceux qui se proclament les hérauts de la vérité. De la Vérité? Faute de pain “frais” pour nous-même, nous nous gavons de “pain d’chien“.
Peut-on retrouver le goût du “bon pain” avec des miettes inlassablement recuites?
Alors?
Nous devons considérer que nous sommes loin de “l’achèvement” de l’Humanité qui n’est que suite de constructions, démolitions et créations. Dans 40 000 ans, quel regard porteront nos descendants sur nos civilisations? Sans doute le même regard condescendant que nous portons à l’homme de Cro-Magnon.
Nous construisons les ruines du futur.
Nous ne sommes qu’un barreau dans l’échelle de la Vie. Il faut assumer nos faiblesses. Il faut assumer nos forces. Plus encore, accepter les forces et faiblesses “des autres“.
Il nous faut accepter que tout est éphémère. Nous sommes éphémères.
Faut-il “jouir” en proclamant: “après nous le déluge“?
Certes NON!
Nous sommes ceux qui nous ont précédés. Nous sommes ceux qui feront “demain“. Une victoire , aussi éphémère, aussi discrète soit-elle est une pierre pour l’Avenir.
Devons-nous alors nous désintéresser du “présent”?
Certes NON!
Nous avons le droit au bonheur pour le temps présent. Mais le vrai bonheur est un” produit” collectif au bénéfice de tous. La définition du “bonheur” sera le fruit de la réflexion de tous. La définition du “bonheur” ne sera jamais définitive.
Pour moi, cette quête universelle serait un réel progrès pour l’humanité. Le combat contre l’égoïsme, la priorité de nos luttes.
Mais la priorité la plus accessible serait la diffusion accrue des connaissances et des savoirs pour permettre à chacun de gagner en “liberté” et en “esprit critique“. Le choix n’est pas un effet de “l’instinct conditionné”, mais de la réflexion. Encore faut-il que l’Homme ait soif de connaissances et de savoirs.
C’est dans le désert que l’Homme connait le plus la soif.
Ne négligeons pas les déserts, ils servent plus l’humanité que les oasis.
Etienne Lallement – Saint-Joseph – La Martinique – le 29 novembre 2020 –
Mur de La Fraternité – Fort-de-France – Mickaël CARUGE et Claude CAUQUIL – 2013
Claude est dentiste. Georges est médecin. Yves, kiné. Peut-on
être serviteur de la santé des « êtres »
sans les aimer ? Aimer sincèrement. Jean et Serge sont transmetteurs de
connaissances. Sapience et conscience. Peut-on être serviteur du « savoir » sans aimer les « êtres » ? Sincèrement.
Claude est Juif et vibre et avec les Israéliens. Georges est
Palestinien de cœur et de lutte. Jean et Yves sont homo, « comme ils disent ». Georges, Claude
et Serge s’affichent hétéros. « Comme
personne ne précise. ».
Tous ont le discours affirmé. La faconde, pour certains. Pour
convaincre. De leurs mots, on sent, pourtant, sourdre des plaies d’incompréhension.
Les anathèmes s’échangent. « Un des… »
excommunie « quelqu’autre ».
Parfois, sans se connaître. Parfois même, la violence des pensées dans les
discours s’insinue et se gonfle.
Quelques choses les séparent. Pourtant, ils font partie de
la même famille : le Peuple de la Terre.
Quand ils échangent, individuellement avec moi, ou « facebookisent », chacun argumente… avec passion. Avec foi.
J’écoute. Je lis.
Chacun affirme…
J’écoute. Je lis.
Chacun cautionne…
J’écoute. Je lis.
Chacun condamne…
J’écoute. Je lis.
Il y a les taiseux qui n’en pensent pas moins.
A entendre et les connaître…un peu… tout semble les séparer.
Il y a ceux qui croient au ciel.
Il y a ceux qui doute du ciel, d’un ciel…
Il y a ceux qui cherchent…tous doutent, sans doute
Je suis oreille…je ne sais qu’être oreille, porte d’athanor aux
minerais ignescents chauffés de doutes et de questions innombrables.
Chacun invoque « la Raison » pour lui-même. S’il le fallait encore, chacun apporte la confirmation que « la Raison » est une épistémè individuelle. « La Raison » est la science et l’argumentation de l’« Ego », de son savoir être et de son pouvoir de faire. « La Raison » sublime le geste de qui la professe. « La Raison » condamne le geste d’autrui. « La Raison » conduit aux excès, au meurtre qu’elle justifie.
« La Raison »
couronne le fou.
« La Raison » gouverne le Monde. « La Raison » détruit le Monde.
Raison est déraison.
La Vie est une grande illusion. Falbala mène la danse. Fanfreluches mènent au désespoir, mène à la mort. Toujours. Mort sociale, mort morale… Mort physique…
Claude, Georges, Jean, Serge, Yves et les autres tout semble
vous séparer.
Pourtant vous faites partie de la même famille maçonnique.
La même famille maçonnique qui ambitionne de réunir ce qui est épars. L’aboutissement n’est pas de notre temps, mais doit-on renoncer?
« De longs et
pénibles efforts sont encore nécessaires… »